REGLEMENT CONTEXTE POSTES VACANTS PARTENARIAT BOTTIN DES AVATARS

" On choisit pas ses parents, on choisit pas sa famille.
On choisit pas non plus les trottoirs de Manille
De Paris ou d'Alger, pour apprendre à marcher. {...} "

1968... Alors que mille et une couleur envahissent le ciel. Nous sommes à Manhattan l'une des circonscriptions de New-York. A voir ainsi, tout à l'air parfait, jusqu'à ce qu'une petite fille de la haute société tombe à terre après avoir été bousculé par un petit garçon pauvre d'un an son aîné. Une bousculade non volontaire, qui vaudra malheureusement aux deux familles une réelle querelle. A quoi celle-ci est-elle due ? A ce petit garçon, qui selon les plus riches a prémédité son acte, ou bien encore à ces classes totalement différentes auxquelles appartiennent ces deux familles ?

Certains sont riches... Certains sont pauvres... Et alors ? Mis à part leur argent, qu'ont-ils de si différent ? C'est la question que se posent beaucoup d'entre nous. Pour mieux comprendre la situation, mettons nous à leur place. Prenons pour commencer la place d'un riche. Belle et grande maison, belles voitures, grande et spacieuse piscine, bonne situation. De quoi en faire rêver plus d'un. Qu'en est-il des pauvres ? Simple loft parfois mal aménagé, une seule et ancienne voiture, des dettes parfois trop lourdes. En y repensant... Ne sont-ils pas plus heureux ? Plus soudés ? Cette évidence ne semble être partagée de tous. Car oui, à New-York, deux classes s'opposent. Les plus riches, de la "haute" société, qui vivent dans les beaux quartiers de Manhattan, Brooklyn... Aux plus pauvres, qui eux vivent pour la plupart du temps dans le Bronx, quartier cité "dangereux" par la plupart de la population. Un seul problème s'impose. Ces deux classes doivent effectivement s'entendre chaque jour, les plus pauvres fréquentant fréquemment les quartiers les plus riches afin d'y travailler, d'y faire leurs courses... Une guerre de famille, qui dure depuis déjà 40 ans. Les parents les plus riches mettent en garde leurs enfants concernant les plus pauvres, qu'ils n'ont le droit de côtoyer. Mais de nombreuses familles huppées ne se doutent du fait que certains de leurs enfants viennent à côtoyer régulièrement les plus pauvres, ceux-ci étudiants dans les mêmes établissements qu'eux. Certains aiment leurs parents, d'autres n'attendent que leur majorité afin de pouvoir "enfin" quitter le cocon familial. Certains se trompent, d'autres viennent à se marier après quelques années de cohabitation. Certains naissent, d'autres meurent... Certains aimeraient parfois choisir leur famille, même si cela est malheureusement impossible. Que deviendront toute ces familles, qui ont finalement le même point commun, celui de posséder des enfants ? Arriveront-ils à s'entendre et à s'entraider une bonne fois pour toute ?
2010... Guerre, amours, trahison... Aucune issue ne semble envisageable pour toute ces familles qui ne cessent de se faire la guerre depuis toute ces années.